Nous les voyons tous les jours sur les monuments, sur les façades des immeubles, sur les wagons des trains, sur les panneaux routiers : tags, graffitis, murales… S’agit-il d’art ou de vandalisme ?
Street Art est la définition utilisée pour comprendre ces formes d’art qui se manifestent dans des lieux publics et comptent un public très vaste, beaucoup plus vaste que celui que l’on trouve dans une galerie d’art traditionnelle.
Ce phénomène a souvent été étiqueté comme acte de vandalisme, parce que les supports utilisés sont les biens et les bâtiments publics.
Pourtant, une différence existe : la frontière entre l’art et le vandalisme, entre la beauté et l’illégalité a été plusieurs fois mentionnée par des artistes de renommée mondiale tels que Haring, Banksy et de nombreux autres.
Leurs dessins sont des œuvres d’art qui reflètent la société, lancent des messages, nous incitent à réfléchir.
L’art de la rue possède une valeur expressive qu’il ne convient pas de généraliser et de condamner. Les graffeurs eux-mêmes font la distinction entre ceux qui créent des graffitis comme forme d’art, et ceux qui dégradent les murs pour trouver un exutoire à leur colère. En effet, les beautés architecturales des villes et les façades des maisons, supports qui devraient dans tous les cas être préservés, sont souvent dégradées par des dessins à la faible valeur émotionnelle et par des obscénités en tout genre. Elles sont même parfois défigurées par des substances qui attaquent l’intégrité de la structure.
Des systèmes à la technique innovante permettent aujourd’hui d’enlever plus facilement le barbouillis de peintures et de sprays, sans endommager les murs. Ce nettoyage peut être réalisé y compris sur les surfaces les plus délicates. L’enlèvement des graffitis concerne toutes les surfaces, y compris le marbre, la pierre, les briques apparentes, le ciment, le crépi.
Les véhicules Rhino srl sont conçus et brevetés pour enlever n’importe quel type de saleté de n’importe quel type de surface, rétablissant ainsi la beauté des bâtiments.